Je ne pensais pas avoir à écrire un jour ce message, et pourtant...
Je reviens tout juste du CG après avoir lu nos rapports sociaux...résultat : avis favorable de l'assistante sociale (le rapport est plutôt fidèle à ce que nous sommes, et très positif) et avis défavorable de la psychologue.....les entretiens ont été déstabilisants puisque elle n'a posé pratiquement aucune question. Bien que l'on nous avait prévenu, cela ne ressemblait en rien à un échange. Elle semblait avoir déjà décidé à notre arrivée de l'issue des entretiens. Bref, son rapport n'est pas mauvais, elle raconte ce qu'on a dit et ça semble plutôt positif, mais en conclusion elle écrit qu'au final on n'a pas beaucoup parlé de l'enfant, de ses particularités, et qu'on n'a pas réussi à bien expliquer le sens qu'avait pour nous cette parentalité adoptive. En conséquence de quoi, elle ne pouvait donner d'avis favorable...
J'imagine que cela signifie que son avis est défavorable

Nous avons respectivement 29 et 32 ans, tout juste mariés pour les besoins de la procédure, et sommes déjà parents d'une petite fille de 4 ans. Notre projet s'orientait autour de l' adoption internationale d'un enfant 0-4 ans, avec une ouverture à certaines particularités (fente labiopalatine, cardiopathies, sérologies positives aux hépatites)
Nous sommes sur le coup de la déception. Notre seule alternative est de demander de nouveaux entretiens avec un psychologue différent. Il nous faut absolument deux avis favorables sinon aucun OAA ne voudra de nous. Certains d'entre vous savent ils comment cela se passe? avons nous vraiment une chance qu'un psychologue du même CG nous donne un avis favorable quand le premier n'a pas été convaincu?
L'impression qu'en Isère, les célibataires et les couples déjà-parents sont traités bien plus sévèrement est très présente à notre esprit...
merci d'avance pour vos réponses, le moral n'est pas au beau fixe...