D'accord avec vous gagatte...
Un enfant est par nature ignorant de certaines choses... il arrive exceptionnellement que ses parents (adoptifs ou non) aient eu le courage de lui révéler cette douloureuse vérité. Et il existe même des enfants polis ! si si je vous le jure...
Léa
Comment gérer les questions des autres enfants ?
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liibellule
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- Enregistré le : dim. 2 oct. 2011 22:37
Re: Comment gérer les questions des autres enfants ?
Bonjour,
Je pense qu'au contraire vous auriez du lui expliquer le pourquoi du comment au lieu de lui dire simplement "si je suis sa mère ".Si quelqu'un comme vous concernée par l'adoption ne le fait qui le fera ?
Je pense qu'au contraire vous auriez du lui expliquer le pourquoi du comment au lieu de lui dire simplement "si je suis sa mère ".Si quelqu'un comme vous concernée par l'adoption ne le fait qui le fera ?
Re: Comment gérer les questions des autres enfants ?
Sincèrement ma priorité c'était mon fils, pas d'instruire ce petit garçon sur l'adoption. Et c'était donc de répéter sans ambivalence et sans condition aucune "Si je suis sa maman."
A lui d'aller voir sa maman à lui et de lui poser ses questions. Chaque famille a une histoire qui lui est propre et ce n'est pas parce que des différences sont visibles que l'on doit expliquer notre vie à des inconnus, fussent-ils des enfants. En tous cas, c'est comme cela que je le ressens.
En sachant bien sûr qu'avec mon fils par contre, on a un dialogue ouvert sur l'adoption et ses parents de naissance, qui s'enrichit et se complète au fil de ses questions et interrogations.
De même, avec ses copains les plus proches, il nous arrive d'en parler en toute liberté tous ensemble, quand ils ont des questions, du style récemment "Tu es né au Vietnam mais personne ne parle vietnamien dans ta famille, pourquoi?". Mais on est alors dans un climat de confiance.
Séverine
A lui d'aller voir sa maman à lui et de lui poser ses questions. Chaque famille a une histoire qui lui est propre et ce n'est pas parce que des différences sont visibles que l'on doit expliquer notre vie à des inconnus, fussent-ils des enfants. En tous cas, c'est comme cela que je le ressens.
En sachant bien sûr qu'avec mon fils par contre, on a un dialogue ouvert sur l'adoption et ses parents de naissance, qui s'enrichit et se complète au fil de ses questions et interrogations.
De même, avec ses copains les plus proches, il nous arrive d'en parler en toute liberté tous ensemble, quand ils ont des questions, du style récemment "Tu es né au Vietnam mais personne ne parle vietnamien dans ta famille, pourquoi?". Mais on est alors dans un climat de confiance.
Séverine